Une colline se laisse gravir au rythme de chacun ; elle permet de prendre distance, d’observer le paysage, de se rapprocher du ciel, de se laisser caresser par le murmure du vent, de goûter au silence et à la solitude ; elle donne à voir et à penser ; de là-haut, nous regardons autrement là-bas… et quand nous redescendons, quelque chose a changé, imperceptiblement.

Ce n’est pas seulement notre regard qui s’est modifié, ce n’est pas seulement notre rapport au paysage qui a changé, mais c’est aussi la colline qui s’est transformée : chacune, chacun y laisse un peu de soi, une part invisible d’elle-même, de lui-même.

Cécile Bolly

Si le cœur vous en dit, bien venue sur l’une ou l’autre colline…

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